ANIMALERIE
Un autre groupe classe travaillait simultanément sur un texte d’accompagnement pour chaque image (c'est-
La première phase fut de collecter dans des revues spécialisées un nombre conséquent de photographies de qualité et de d’évaluer quelle tête d’animal conviendrait le mieux pour se substituer à la tête d’un portrait humain. Il nous vint bientôt l’idée d’imiter gestuellement l’animal pour mieux nous le représenter. Lorsqu’aucune photographie de base ne semblait nous convenir pour représenter les caractéristiques remarquables de tel ou tel animal, nous convînmes de mimer le corps de l’animal et de faire une photographie sur laquelle nous collerions la tête découpée dans un journal. Une fois le travail d’assemblage achevé, nous décidâmes de photographier le résultat en noir et blanc pour mieux lisser l’effet final.